Le nouveau rapport d’Oliver Wyman aborde la façon dont la région est prête pour un changement réel et durable, et son besoin pour le secteur privé et non lucratif pour lancer de nouvelles initiatives
Dubaï, Émirats Arabes Unis - Mardi 1 Novembre 2016 [ME NewsWire]
(BUSINESS WIRE)-- Le nouveau rapport d'Oliver Wyman portant sur les initiatives d'impact social au sein du Conseil de coopération du Golfe (CCG) a révélé que les secteurs privés et à but non lucratif de la région restent loin d'être là où ils doivent être pour devenir des partenaires stratégiques des gouvernements dans la conduite du développement durable.
Oliver Wyman a interrogé plus de 60 dirigeants d'entreprises dans la région pour étudier le rôle que jouent le secteur privé et sans but lucratif du CCG en matière de durabilité sociale et environnementale dans la région.
La recherche vise à explorer le rôle que peuvent jouer les gouvernements, les organisations internationales et les réseaux de soutien pour maintenir et conduire la croissance de ce nouveau domaine d'intérêt essentiel au sein du CCG.
Le rapport montre que 86 pour cent des sondés sont fortement d'accord qu'une action immédiate est nécessaire pour relever les défis de la région, particulièrement en matière de chômage des jeunes, des émissions de CO2 et du manque d'eau.
"Les conclusions exposées dans le rapport suggèrent que la région est prête pour un changement réel et durable", a déclaré Greg Rung, un partenaire d’Oliver Wyman au Moyen-Orient et l'auteur du rapport.
"La sensibilisation à ces questions a augmenté au cours de la dernière décennie, et la situation actuelle a créé un sens croissant d'urgence et de crise. L’itinéraire à parcourir vers un impact social et environnemental efficace est long et beaucoup d'organisations n'ont pas encore pris de mesures significatives dans la bonne direction.
Insuffisance de taux de réalisations
Toujours en évolution dans la région, le sondage a dévoilé qu'une grande majorité (68 pour cent) des organisations estime que la durabilité est une priorité absolue pour leurs cadres dirigeants. Moins d'un tiers des répondants au sondage (30%) croient que les entreprises, les fondations et les ONG font actuellement assez d’efforts pour régler les problèmes, et moins de la moitié (41%) ont réévalué l'ampleur de leurs programmes de durabilité au cours des deux dernières années.
Moins d'un tiers (27%) ont augmenté leurs budgets fixés pour la durabilité et, par conséquent, seulement 40% estiment que les budgets actuels sont suffisants.
"Le consensus accablant concernant l'urgence des défis sociaux et environnementaux de la région est inquiétant, mais il marque également une occasion pour le changement significatif," a dit M. Rung.
Crise et opportunité
Pour faire face aux problèmes auxquels le CCG est confronté, le rapport décrit comment les «pionniers régionaux» seront des facteurs essentiels et comment les dirigeants du secteur privé doivent démontrer que la durabilité peut contribuer à la croissance et ajouter un avantage concurrentiel.
Selon le rapport, l'intégration de la durabilité dans l'ADN d'une organisation est également un processus pluriannuel qui requiert une gestion importante du changement. Il ajoute également que la durabilité doit être directement liée au modèle d'affaires pour une croissance et rentabilité à long terme.
La formation et l’habilitation du personnel dans l'organisation et l'encouragement des «gestionnaires de la durabilité» doivent également faire partie de la stratégie d'une organisation, et la prise de mesures devrait également être une priorité absolue, en tirant parti des directives internationales de la rédaction des rapports et des acteurs du soutien externe.
Le rapport fournit également des exemples d'organisations qui montrent la voie en tant que pionniers régionaux.
Créer des partenariats
La collaboration entre les gouvernements et le secteur privé et à but non lucratif doit également s'améliorer, indique le rapport.
«Malgré le lancement d'initiatives importantes de réforme gouvernementale au cours des deux dernières années, il est devenu de plus en plus évident que les gouvernements ne peuvent pas s'attendre à relever seuls les défis sociaux et environnementaux de la région», a déclaré M. Rung.
Consultez le rapport intitulé «L'impératif de l'impact social - Le rôle des secteurs privés et sans but lucratif au sein du CCG» en cliquant ici.
Notes aux rédacteurs
En utilisant une combinaison d'entrevues et d'enquêtes en ligne, la recherche a visé de recueillir des points de vue directement des acteurs actifs dans les initiatives sociales et environnementales prises dans les entreprises, les fondations ou les ONG à travers le CCG. L'objectif était de comprendre les tendances les plus récentes dans les réponses du secteur privé et sans but lucratif aux défis urgents de la région et de découvrir des leçons propres à chaque région en examinant les parcours des organisations vers la durabilité et l'impact social et environnemental.
Oliver Wyman
Avec des bureaux dans plus de 50 villes à travers 26 pays, Oliver Wyman est un chef de file mondial en matière de conseil en gestion qui combine les connaissances approfondies de l'industrie avec une expertise spécialisée dans la stratégie, les opérations, la gestion des risques et la transformation de l'organisation. Oliver Wyman est une filiale en propriété exclusive de Marsh & McLennan Companies [NYSE: MMC]. Vous pouvez suivre Oliver Wyman sur Twitter @OliverWyman
Le texte du communiqué issu d’une traduction ne doit d’aucune manière être considéré comme officiel. La seule version du communiqué qui fasse foi est celle du communiqué dans sa langue d’origine. La traduction devra toujours être confrontée au texte source, qui fera jurisprudence.
Contacts
Media Contact:
Pour Oliver Wyman:
Halima Islam, +971 55 985 3382
halima.islam@fourcommunications.com
Permalink: http://www.me-newswire.net/news/18960/fr
Dubaï, Émirats Arabes Unis - Mardi 1 Novembre 2016 [ME NewsWire]
(BUSINESS WIRE)-- Le nouveau rapport d'Oliver Wyman portant sur les initiatives d'impact social au sein du Conseil de coopération du Golfe (CCG) a révélé que les secteurs privés et à but non lucratif de la région restent loin d'être là où ils doivent être pour devenir des partenaires stratégiques des gouvernements dans la conduite du développement durable.
Oliver Wyman a interrogé plus de 60 dirigeants d'entreprises dans la région pour étudier le rôle que jouent le secteur privé et sans but lucratif du CCG en matière de durabilité sociale et environnementale dans la région.
La recherche vise à explorer le rôle que peuvent jouer les gouvernements, les organisations internationales et les réseaux de soutien pour maintenir et conduire la croissance de ce nouveau domaine d'intérêt essentiel au sein du CCG.
Le rapport montre que 86 pour cent des sondés sont fortement d'accord qu'une action immédiate est nécessaire pour relever les défis de la région, particulièrement en matière de chômage des jeunes, des émissions de CO2 et du manque d'eau.
"Les conclusions exposées dans le rapport suggèrent que la région est prête pour un changement réel et durable", a déclaré Greg Rung, un partenaire d’Oliver Wyman au Moyen-Orient et l'auteur du rapport.
"La sensibilisation à ces questions a augmenté au cours de la dernière décennie, et la situation actuelle a créé un sens croissant d'urgence et de crise. L’itinéraire à parcourir vers un impact social et environnemental efficace est long et beaucoup d'organisations n'ont pas encore pris de mesures significatives dans la bonne direction.
Insuffisance de taux de réalisations
Toujours en évolution dans la région, le sondage a dévoilé qu'une grande majorité (68 pour cent) des organisations estime que la durabilité est une priorité absolue pour leurs cadres dirigeants. Moins d'un tiers des répondants au sondage (30%) croient que les entreprises, les fondations et les ONG font actuellement assez d’efforts pour régler les problèmes, et moins de la moitié (41%) ont réévalué l'ampleur de leurs programmes de durabilité au cours des deux dernières années.
Moins d'un tiers (27%) ont augmenté leurs budgets fixés pour la durabilité et, par conséquent, seulement 40% estiment que les budgets actuels sont suffisants.
"Le consensus accablant concernant l'urgence des défis sociaux et environnementaux de la région est inquiétant, mais il marque également une occasion pour le changement significatif," a dit M. Rung.
Crise et opportunité
Pour faire face aux problèmes auxquels le CCG est confronté, le rapport décrit comment les «pionniers régionaux» seront des facteurs essentiels et comment les dirigeants du secteur privé doivent démontrer que la durabilité peut contribuer à la croissance et ajouter un avantage concurrentiel.
Selon le rapport, l'intégration de la durabilité dans l'ADN d'une organisation est également un processus pluriannuel qui requiert une gestion importante du changement. Il ajoute également que la durabilité doit être directement liée au modèle d'affaires pour une croissance et rentabilité à long terme.
La formation et l’habilitation du personnel dans l'organisation et l'encouragement des «gestionnaires de la durabilité» doivent également faire partie de la stratégie d'une organisation, et la prise de mesures devrait également être une priorité absolue, en tirant parti des directives internationales de la rédaction des rapports et des acteurs du soutien externe.
Le rapport fournit également des exemples d'organisations qui montrent la voie en tant que pionniers régionaux.
Créer des partenariats
La collaboration entre les gouvernements et le secteur privé et à but non lucratif doit également s'améliorer, indique le rapport.
«Malgré le lancement d'initiatives importantes de réforme gouvernementale au cours des deux dernières années, il est devenu de plus en plus évident que les gouvernements ne peuvent pas s'attendre à relever seuls les défis sociaux et environnementaux de la région», a déclaré M. Rung.
Consultez le rapport intitulé «L'impératif de l'impact social - Le rôle des secteurs privés et sans but lucratif au sein du CCG» en cliquant ici.
Notes aux rédacteurs
En utilisant une combinaison d'entrevues et d'enquêtes en ligne, la recherche a visé de recueillir des points de vue directement des acteurs actifs dans les initiatives sociales et environnementales prises dans les entreprises, les fondations ou les ONG à travers le CCG. L'objectif était de comprendre les tendances les plus récentes dans les réponses du secteur privé et sans but lucratif aux défis urgents de la région et de découvrir des leçons propres à chaque région en examinant les parcours des organisations vers la durabilité et l'impact social et environnemental.
Oliver Wyman
Avec des bureaux dans plus de 50 villes à travers 26 pays, Oliver Wyman est un chef de file mondial en matière de conseil en gestion qui combine les connaissances approfondies de l'industrie avec une expertise spécialisée dans la stratégie, les opérations, la gestion des risques et la transformation de l'organisation. Oliver Wyman est une filiale en propriété exclusive de Marsh & McLennan Companies [NYSE: MMC]. Vous pouvez suivre Oliver Wyman sur Twitter @OliverWyman
Le texte du communiqué issu d’une traduction ne doit d’aucune manière être considéré comme officiel. La seule version du communiqué qui fasse foi est celle du communiqué dans sa langue d’origine. La traduction devra toujours être confrontée au texte source, qui fera jurisprudence.
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Pour Oliver Wyman:
Halima Islam, +971 55 985 3382
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