PHILADELPHIE - Dimanche 27 Octobre 2013 [ME NewsWire]
La base de données mondiale de Hay Group sur les sondages d'opinion auprès des salariés indique une baisse des notes attribuées aux efforts de la direction à concerter les employés, à leur respect de ses capacités de gestion et au feedback fourni sur leur rendement
(BUSINESS WIRE)--Bien que l'on puisse s'attendre au déclin des niveaux d'engagement des salariés dans le secteur tumultueux des sciences de la vie au cours des cinq ou six dernières années, la localisation exacte de ces déficits peut aider les entreprises faisant face au plus grand changement jamais survenu dans leur industrie depuis des décennies. Selon la base de données mondiale de Hay Group sur les sondages d'opinion auprès des salariés portant sur plus de 6,7 millions d'employés répartis dans plus de 400 entreprises dans le monde, un grand nombre des domaines en déficit dans le secteur des sciences de la vie sont essentiels pour modifier les orientations et donner la priorité aux clients. Le moteur de ce changement sera l'innovation, non pas simplement sur le plan scientifique mais sur l'ensemble des activités. Les données de Hay Group sur l'engagement dans les domaines de l'innovation et des secteurs connexes sont cependant celles qui indiquent le déclin le plus flagrant.
«Bien qu'il s'agisse d'un signe encourageant pouvant indiquer une stabilité retrouvée»
Ce rapport, qui s'inscrit dans le cadre d'un débat continu sur les transformations qui s'opèrent dans le secteur des sciences de la vie et sur les « solutions liées au capital humain » les plus efficaces pour y faire face, s'inspire du livre blanc publié par Hay Group, « Transforming to Succeed: Make Market Access a Competitive Advantage in the Changing Life Sciences Landscape ». Consultez Transforming to Succeed
Quelques points positifs
Sur le plan positif, la stabilité des effectifs semble être revenue au cours des 10 dernières années. Les employés sont plus confiants quant à la sécurité de leur emploi (62 % indiquaient une opinion favorable en 2003-2007, contre 72 % en 2008-2012). Apparemment, les employés qui demeurent à leur poste ou qui ont été embauchés au cours des cinq dernières années sont bien positionnés au sein de leur société et sont bien rémunérés. La satisfaction envers les mesures incitatives et les primes de rendement est passée de 51 % durant la période précédente à 66 % au cours de la période actuelle.
« Bien qu'il s'agisse d'un signe encourageant pouvant indiquer une stabilité retrouvée », a déclaré Ian Wilcox, responsable du secteur mondial des sciences de la vie pour Hay Group, « d'autres observations et l'étude de pratiques de rémunération concrètes dans ce secteur ne suggèrent aucune évolution " positive " dans la manière dont les mesures incitatives sont mesurées et utilisées pour modifier le comportement. En outre, d'après l'opinion des employés, beaucoup d'autres domaines ont été notés défavorablement. Ces domaines sont tous essentiels pour intégrer l'innovation au sein même de l'entreprise et instaurer un changement réussi. »
Accent sur les déficits en matière d'innovation
Une des tendances les plus troublantes dans la base de données est un déclin de dix points de 2003-2007 à 2008-2012 des notes attribuées aux initiatives des entreprises en matière d'« innovation dans le développement des produits et des services ». Cette constatation s'accompagne d'une baisse connexe de huit points des notes relatives à l'innovation des « méthodes de travail » (utilisation de nouvelles technologies ou d'approches créatives pour améliorer l'efficacité interne).
« L'innovation à tous les niveaux, et non seulement en termes purement scientifiques, sera nécessaire pour créer des entreprises pouvant répondre aux besoins du marché en constante évolution », a ajouté M. Wilcox. « Nous prévoyons que pour réussir à l'avenir dans le secteur des sciences de la vie, les employés devront avoir une vision totalement différente de leur rôle, de leurs clients et de leur société. Il s'agit d'un véritable changement d'attitude. Tout engagement moins décisif sera probablement insuffisant ; c'est pourquoi le capital humain sera la solution de choix. »
Facteurs freinant l'innovation
De nombreux autres points dans la base de données de Hay Group indiquent un déclin encore plus marqué et mettent en relief les déficits d'engagement qui, non comblés, freineraient probablement la croissance d'une culture de l'innovation. La base de données révèle, par exemple, des déclins à deux chiffres dans des domaines essentiels comme « les initiatives de la société à concerter ses employés » (-19 par rapport à 2003-2007) ; la capacité de la société à « être gérée et dirigée de façon efficace » (-17) ; la « confiance des employés dans la direction » (-11) ; et la mesure dans laquelle les employés « reçoivent un feedback clair et régulier » (-12).
Selon Mark Royal, associé principal de Hay Group, « pour soutenir les hauts niveaux de motivation qui permettent aux employés de se surpasser et de chercher des solutions toujours nouvelles, les entreprises devront assurer à leurs employés qu'elles sont bien gérées et qu'elles progressent dans la bonne direction.
« Pour optimiser les processus de travail, notamment dans les environnements dynamiques où les objectifs changent fréquemment, il est essentiel de tirer parti des idées et opinions des employés à tous les niveaux et de faire en sorte qu'ils ne perdent pas de vue les objectifs de rendement appropriés. »
Engagement envers l'innovation
M. Royal ajoute : « Les tendances qui se dégagent de notre base de données des sondages d'opinion auprès nos employés peuvent aider les sociétés à se concentrer sur des problèmes clés, une première étape vitale qui leur permettra d'identifier des domaines précis où les améliorations sont nécessaires. »
M. Wilcox ajoute que si l'engagement des employés est essentiel au succès de la plupart des entreprises, il est d'autant plus important dans un secteur en constante évolution comme celui des sciences de la vie. Le changement radical d'attitude qu'il préconise n'est pas uniquement de nature organisationnel et sera nécessaire pour relancer l'innovation.
M. Wilcox conclut : « Le capital humain est le fer de lance de la reprise du secteur des sciences de la vie. Un effectif motivé sera en outre nécessaire pour innover, transformer radicalement et, à terme, être compétitif aux plus hauts niveaux. »
À propos de Hay Group
Hay Group est une société de conseil internationale travaillant avec des leaders en vue de transformer leur stratégie en résultats concrets. Nous facilitons le développement de personnel de talent, nous soutenons les employés afin d'accroître leur efficacité et nous les motivons pour qu'ils fassent de leur mieux. Notre objectif premier est de concrétiser les changements et d'aider les personnes et les entreprises à réaliser leur potentiel. Visitez www.haygroup.com
Le texte du communiqué issu d’une traduction ne doit d’aucune manière être considéré comme officiel. La seule version du communiqué qui fasse foi est celle du communiqué dans sa langue d’origine. La traduction devra toujours être confrontée au texte source, qui fera jurisprudence.
Contacts
Hay Group
Doran Twer
Tél. : +1-215-861-2337
Portable : +1-215-470-1800
doran.twer@haygroup.com
Permalink: http://me-newswire.net/news/8938/fr
No comments:
Post a Comment